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Rocher, Lacroix, pas de quartier à Orange

 

Rocher, Lacroix, pas de quartier à Orange

Posté par BOULEGAN le 25/10/2015 18:20:00 (7288 lecturesArticles du même auteur

 

Dylan Rocher et Henri Lacroix se sont imposés aujourd'hui, en compagnie d'Yvan Allombert Blanc, en finale du Supranational d'Orange, au terme d'un parcours impressionnant de maîtrise et de facilité.

 

Rocher, Lacroix, pas de quartier à Orange

 

Désormais grande classique d'automne et dernière étape du Qualif'Masters et du circuit PPF, Orange n'en finit plus de grandir. La barre des 512 équipes, atteinte facilement depuis deux saisons, est un premier indicateur du puissant attrait que suscite à présent l'évènement, mais c'est surtout la diversité géographique et la qualité des joueurs au départ qui frappait à la lecture des listes d'engagement. Rien d'étonnant donc à ce qu'on ait assisté, dès les poules, à des chocs somptueux et aux premières désillusions à ce stade de certaines têtes de séries, tels Rypen ou Foyot.
La suite de la première journée allait voir se confirmer cette tendance, et être fatale à Loy, Darodes, Margerit, Boutelier, Salvini, Garagnon, Delforge, Cargolès, Cantarel, Adam, Bonetto ou Cailloce. L'écrémage se poursuivait tout au long de la soirée avec les sorties de route de Durk, Gayraud, Guglielmo, Riehl, Emile et Milesi.
 
 
 
Chapeland chutait face à Etchanchu, Gire perdait sur le fil contre Sarrio qui battait ensuite CaillotSantucci s'imposait face à Sarnelli et Molinas disposait sur le fil deMandimby.
Il restait pourtant du très beau monde, dimanche matin, au départ des huitièmes de finale. Le choc entre Cortès/Da Cunha/Montoro et la famille Molinas, débuté à l'avantage des premiers qui menaient 9-4, s'équilibrait soudain sur deux somptueux carreaux de Tysonqui ramenaient son équipe à 9-9 avant de la voir s'imposer. Les espoirs d'Emmanuel Lucien d'endosser un maillot de chef d'équipe pour la tournée des Masters 2016 et de progresser significativement au sein du classement PPF s'envolaient face aux Vauclusiens  Bernard/Cano/Blanc, alors que Rocher disposait facilement d'Etchanchu, que Santucci battait Rayne que Mallet passait largement face à Molinas et que Lucianis'imposait 13-12 devant les Tarnais de Brun. La palme du suspense était toutefois remportée par les Varois Pascal/Pascal/Dubois qui coiffaient sur le fil, après plus de deux heures de jeu, Rivière/Luchesi/Luchesi après avoir été menés 4-12 !
 
 
 
En quarts, Rocher-Lacroix-Allombert Blanc passaient sans encombre face à Luciani, de même que Santucci contre Bernard, alors que Molinas mettait fin au beau parcours de Pascal. Mais la grosse explication se tenait sur le dernier carré de jeu, où l'enfant du pays Alexandre Mallet affrontait, avec ses amis Sarrio et Rosati, l'ogre Fazzino. Un match qui tenait ses promesses, avec un Chioni et un Cano très bons face à une prestation de très haut niveau des jeunes Lyonnais. Mais le lent et patient travail de sape de l'équipe Fazzino, qui remontait son retard point par point puis prenait la tête 10-9, portait bientôt ses fruits : Sarrio chiquait puis manquait, Rosati manquait double au bouchon, et la messe était dite.
Rocher, Molinas, Fazzino, Santucci, l'affiche des demis était plus qu'alléchante. Le public se pressait autour du choc Rocher-Fazzino, mais celui-ci tournait court : malgré un sauvetage au bouchon de Cano dès la deuxième mène, Fazzino encaissait ensuite une lourde fanny en seulement trois mènes. Tous les yeux se tournaient alors vers l'autre demi-finale, dominée d'entrée par un Tyson Molinas étincelant. Un match qui aurait pu pourtant s'inverser à mi-partie, sans une invraisemblable série de contres encaissés parFaurel et Demeter : ceux-ci s'accrochaient néanmoins, et revenaient 8-9. Un effort insuffisant pour contrer Vigo Dubois, Ben et Tyson Molinas qui s'imposaient finalement 13-8.
 
 
 
Dylan contre Tyson : c'est donc avec la même affiche qu'en 2014 (à l'exception du regretté Laurent Benazeth) que pouvait alors se dérouler la finale. Mais là aussi, pas de suspense : en déroulant un niveau de jeu énorme, les deux champions du monde etAllombert Blanc (excellent) opéraient un démarrage en trombe et menaient bientôt 11-0. Malgré un sauvetage au but de Tyson et deux petits points marqués par des finalistes pourtant méritants, c'est en dix petites mènes que Dylan Rocher et Henri Lacroix, impitoyables, terminaient en apothéose leur week-end vauclusien. 
 

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